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Chasse en Namibie

15 ans après… Promesse tenue !

Par Bernard Andries

16 août 2007, mon épouse et moi sommes en safari en Namibie. Du haut d’une colline nous scrutons l’horizons à la recherche d’un grand koudou digne de ce nom quand sonne le téléphone. Nous apprenons alors la naissance, la veille, de Robin et Jules, nos petits-fils. Émotion passée et trophée désiré acquis, promesse est faite de revenir en terre namibienne avec les jumeaux, quand ils seront grands. Juillet 2022, 15 ans plus tard donc, nous sommes, comme promis, de retour avec eux à l’approche de leur anniversaire.

A l’annonce de notre proposition de voyage, la première question qui nous est posée par les garçons est : « Est-ce que l’on pourra chasser ? » Je suis très surpris car ils avaient bien tiré quelques munitions sur une cible avec une carabine à air comprimé puis avec une17 HMR mais ils n’ont jamais chassé et encore moins tiré sur un animal. Leur maman ne comprend d’ailleurs pas trop le « délire » de mon épouse et moi-même de courir les trophées. 

Devant l’engouement des jumeaux, nous préparons minutieusement notre déplacement. Le choix de la destination pour un safari d’initiation n’est pas fait au hasard. En effet, la Namibie est le pays de mon premier voyage de chasse en Afrique en 1987. Par ailleurs, cet état est l’un des plus sûrs du continent au niveau sécurité, risque de maladie, climat, route, location de véhicule et accessibilité aérienne. Il est surtout la destination où l’organisation de la chasse au grand gibier est très bien rôdée. Pour profiter pleinement, nous allons partir 15 jours. Au programme une semaine de tourisme généraliste suivie d’une semaine d’activités cynégétiques. 

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Road trip, immersion progressive

Au lendemain de l’épreuve de brevet des collèges, nous embarquons sur un vol de la compagnie Ethiopian Airlines pour Windhoek via Addis-Abeba. Le trajet est sans encombre. Arrivés à bon port, je fais établir mon permis import-export d’arme et prends en charge un 4X4 de location flambant neuf. Après une nuit de récupération dans la capitale, nous entamons une semaine de tourisme itinérant. Cela nous conduit du plateau de Waterberg qui domine le désert du Kalahari à la célèbre dune « Big Daddy » en passant par l’incontournable parc national d’Etosha, Khorixas dans le Damaraland, le site de Twyfelfontein avec ses peintures rupestres et sa forêt pétrifiée abritant des troncs d’arbres fossiles vieux de 240 à 300 millions d’années, la station balnéaire de Swakopmund et le parc national de Naukluft avant de rejoindre l’aéroport. Là, nous rendons le véhicule avec lequel nous venons de parcourir 2900 kilomètres et retrouvons Jürgen, notre hôte de chasse. Ce dernier nous entraine vers l’est, à 200 kilomètres de là, jusqu’à sa ferme baptisée « Combumbi » située à seulement 80 kilomètres du Botswana. Nous allons être logés dans des chambres très confortables.

Robin et Jules n’ayant jamais tiré d’animaux, il leur est présenté l’ouvrage « The Perfect Shoot » de Kevin Robertson. Photos à l’appui, Jürgen leur explique qu’il n’y a qu’un seul endroit sur lequel se concentrer : le cœur. Nous allons chasser sur deux zones ouvertes de 10 000 ha chacun avec possibilité de nous rendre en plus, si besoin, sur les 200 000 ha territoire du Black Nossob Conservancy qui se compose de plusieurs secteurs ouverts ou fermés en fonction des animaux recherchés. J’ai proposé à mes jeunes de tenter de prélever 4 animaux chacun soit un oryx, un phacochère et un bubale avec en plus, au choix, un zèbre ou un gnou bleu. Toutes ces espèces sont celles que l’on trouve vaquant librement à l’état naturel dans la région. De mon côté, je souhaite essayer de tirer une hyène brune et un guépard pour lesquels l’organisateur a obtenu un permis spécifique.

Au lendemain de ces explications, après un copieux petit-déjeuner, nous nous dirigeons vers le stand de tir en compagnie de Festus, notre chauffeur-pisteur, et de Samuel, notre guide, pour une séance de réglage de ma Kipplauf K95 Blaser en 30.06 équipée d’un réducteur de son Hausken et d’une lunette Swarovski Z6i 3X18/50. L’armeur séparé et le mono-coup forment un ensemble idéal pour le premier safari de mes jeunes. La mise au point est réalisée à 100 mètres sur une cible bien visible. Chose faite, Robin et Jules lâchent chacun deux balles depuis un stable stick et obtiennent à tous les coups un neuf. Le sourire de Jürgen est satisfait et rassuré. Le temps est donc venu de réaliser un premier tour en brousse. Cette sortie va nous permettre aux garçons de se familiariser avec la faune sauvage et son environnement. Tour à tour, nous observons springboks, élands du Cap, oryx… puis nous rentrons pour déjeuner. Mayke, la maitresse de maison est un véritable cordon bleu. Elle nous proposera chaque jour une viande de brousse différente accommodée de multiples manières et accompagnée de légumes. 

Exergue : « Le tireur est prompt. Il fait feu au bon moment. L’animal démarre en trombe puis se fracasse quelques mètres plus loin sur un arbre et se casse une corne dans le choc… »

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Vieil oryx et bon phaco

Il est 15 heures lorsque nous prenons place à l’arrière du Land Cruiser aménagé « chasse » et entamons notre prospection. Bientôt, Festus stoppe car il a repéré très loin un animal sur la piste. Samuel, le guide, annonce un vieil oryx tandis que le télémètre de mes jumelles affiche 800 mètres. Il est décidé de tenter avec Jules une approche contournée à bon vent. La manœuvre nous permet de parvenir à une centaine de mètres de l’antilope qui se déplace lentement et de cul. Elle s’apprête à pénétrer une zone de bush serré. Samuel pose le stick, Robin se positionne et arme et dans la foulée le guide pousse un cri ce qui a pour résultat de faire stopper et se retourner l’oryx. Le tireur est prompt. Il fait feu au bon moment. L’animal démarre en trombe puis se fracasse quelques mètres plus loin sur un arbre et se casse une corne dans le choc… balle de cœur. L’émotion est forte. Comme il est de coutume à chaque nouvelle espèce, Samuel baptise notre jeune nemrod avec une touche de sang sur chaque joue et lui remet la brisée avec un « Waidmannsheil » de félicitations auxquelles s’associe Jürgen. Nous rentrons à la ferme. Le soir venu, notre hôte me propose une séance d’affût au mirador pour l’hyène. Il a deux appâts en place et l’un d’eux est visité. J’accepte. Nous allons durant la séance voir un des charognards espérés, mais très méfiant, celui-ci nous a éventé car le vent a tourné.

En cette nouvelle journée, c’est au tour de Jules d’endosser le rôle du chasseur. Samuel nous propose pour l’occasion d’évoluer à pied dans un secteur favorable aux oryx et aux zèbres. Nous déambulons depuis plus d’une heure quand nous sommes à vue d’un oryx à environ 120m. Il se présente de profil, avance et disparaît derrière un rideau de végétation. Il est immédiatement suivi par un zèbre mâle qui reste de cul. Stable stick déployé, chasseur en visée, soudain l’équidé présente son plein profil. La K95 ne tarde pas à envoyer sa GPA 180 grains L’animal parcourt 20 mètres et s’écroule. L’enseignement “Perfect Shoot“ de Jürgen porte ses fruits. Je sens une réelle émotion pour ce premier animal chez notre jeune chasseur, baptême et waidmannsheil ! nous rentrons aussitôt pour déposer le gibier puis repartons dans la foulée pour une heure dans l’espoir de croiser un guépard, sans succès.

Après la sieste, notre objectif devient le phacochère. Rapidement, nous repérons à près d’un kilomètre, en bordure de piste, un suidé. Samuel nous indique qu’il s’agit d’un mâle. L’approche est très vite décidée avec Robin. Parvenus à près de 200 m de notre animal, une troupe de 4 jeunes phacos précédée de leur mère passe à 50 m. Elle est suivie par un très beau mâle qui s’arrête, tête dirigée vers nous, truffe en l’air alors que le stick est déployé. Le suidé s’agite un peu dans tous les sens comme s’il avait repéré un danger. Le jeune chasseur réagit en pro en le séchant sur place. Ses « bananes » mesurées après extraction afficheront une longueur de 31 cm, la chance du débutant ! Dire qu’il m’a fallu 20 ans pour tirer, finalement au Tchad, un tel trophée.

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Problème de réglage

De retour au lodge à 17h00, Jürgen propose une omelette rapide et direction un mirador afin d’être en place pour 18h00 pour tenter de tirer une hyène. Vers 19h00, le crépuscule arrive, et la chasse est bientôt fermée car autorisée une demi-heure après le coucher du soleil. Je branche ma thermique Calonox sight sur la lunette. Bientôt un chacal se présente, il s’arrête et regarde derrière lui, une hyène arrive et se rapproche de l’appât. Elle se présente bien. Je tire et la bête démarre en trombe dans le bush. Impossible de se risquer à sa recherche au-delà de 50 mètres, nous irons au clair le lendemain. La nuit sera longue pour moi, mais honnêtement je n’étais pas confiant.

Dès 7h00 nous sommes sur place, les traces de notre hyène montrent une course sur 200 m puis une allure normale ensuite sans aucun indice de blessure. A l’endroit du tir, nous retrouvons l’impact de la balle dans le bosquet situé derrière l’appât. Nous décidons avec Jurgen de recontrôler le Calonox sight. Pour cela, il chauffe une barre de fer au chalumeau que nous plaçons avec un fil de fer devant la cible et il s’avère qu’à 100 m la balle est 40 cm en haut et 25 cm à gauche du centre. Un nouveau réglage permet une balle parfaite. Au départ, quand nous avons ciblé la carabine, il a fallu donner quelques clics vers la droite et vers le bas que nous n’avons pas répercutés sur le Calonox, l’image numérique n’était donc plus en concordance avec l’image optique de la lunette.

Rentrés pour le breakfast, nous repartons vers 9h en quête d’un nouveau phacochère. Nous en repérons un de belle taille à plus de 400m dans la plaine -, sans doute un mâle. Jules encore quelque peu endormi préfère attendre, sans doute pour faire durer le plaisir. L’après-midi sera consacrée au koudou, voire guépard, mais je ne tirerai qu’un chacal. Nous laisserons la hyène en paix pour ce soir.

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Confusion

Au quatrième jour, après deux approches sur bubales sans succès pour les jumeaux à cause du vent tournant, Samuel souhaite me faire tirer un babouin en apercevant au loin une bande de ces primates en bordure de piste. Un grand crochet par le bush nous amène en bonne position à 120 m. Malheureusement, Samuel pose le stick à l’envers, du même coup nos mouvements font démarrer la troupe. Je tire cependant à la course, l’impact est bien entendu mais il nous faudra tout l’art du guide et de son pisteur pour remonter l’animal et abréger ses souffrances.

Nous reprenons le véhicule et, après quelques minutes, nous remarquons à environ 500 m plusieurs phacochères dans une grande plaine de hautes herbes. Samuel et Jules veulent tenter le coup pour voir si un trophée intéressant se trouve dans la bande. Nous suivons le duo. Pour l’heure, nous ne voyons que les dos des animaux. Ceci facilite l’approche à découvert et à bon vent. Tout le monde se fige dès qu’un suidé lève la tête. Lentement, nous nous hissons à 100 m des phacos. Le stable stick est alors déployé et Jules se concentre. Samuel signale qu’il y a un bon mâle mais qu’il porte une défense légèrement cassée. Le chasseur prend dans la foulée la décision d’ouvrir le feu. Le coup part, l’animal démarre en trombe, je le suis aux jumelles sur plusieurs centaines de mètres, il semble ralentir puis tourner en rond et reprendre plus doucement vers le couvert. Le PH confirme que le phaco est touché mais que l’atteinte est un peu haute. Grâce au talkie-walkie, il est demandé à Festus de nous rejoindre sur la piste. Nous suivons à pied jusqu’au bord de la plaine. Le blessé a traversé la piste puis passé une clôture à vaches. Nous le retrouvons finalement couché derrière un bosquet. Jules lui donne le coup de grâce. Il s’agit-là, encore, d’un excellent phacochère pour une première récolte. Certes, il a une défense un peu cassée, mais l’autre mesure 28 cm. 

À la suite de cet épisode, nous effectuons plusieurs approches infructueuses sur bubales. Puis, en abordant une grande plaine, Samuel détecte un nouveau groupe de ces antilopes. C’est au tour de Robin de tenter sa chance. La progression est parfaitement menée et nous ne sommes bientôt plus qu’à une centaine de mètres de notre but. Les animaux sont intrigués, trois sur la gauche nous regardent, le quatrième, de profil, est sur la droite. Samuel indique au tireur le dernier bubale sur la gauche. Robin semble attendre qu’il présente son côté. Le coup part finalement et la balle atteint sa cible. Dans l’instant Samuel s’exclame : « Tu as tué une femelle ! Je t’avais dit de tirer le dernier à gauche. », en même temps qu’il montre du doigt la droite. Le PH reconnait aussitôt qu’il s’est trompé mais qu’il n’y a rien de grave car les femelles sont aussi autorisées à la chasse. Il annonce que nous pouvons, si nous le souhaitons, tirer un mâle. Reste que le trophée du bubale abattu est très grand et convient totalement à Robin. Nous avons vécu une belle action de chasse, c’est là l’essentiel.          

Le jour suivant, nous nous concentrons sur le gnou bleu. Pour ce faire, nous rejoignons un territoire de 12 000 ha où lesdites antilopes sont présentes en divers groupes. Nous voyons d’abord des sujets qui ne correspondent pas aux critères d’âge souhaités par Samuel avant de repérer un troupeau à longue distance qui retient l’attention du PH. Une tentative de rapproché est donc organisée. Pas moins de 45 minutes de marche discrète dans un bush assez serré nous sont nécessaires pour parvenir à discerner les différents éléments de la bande de gnous bleu. Les deux sexes portant des cornes, l’affaire n’est pas simple. Un bon mâle est cependant identifié. Il se tient en bonne position. Concentré, Robin fait feu et l’animal s’effondre sur place mais il s’agite des pattes et je crains une balle d’apophyse. J’encourage donc le chasseur à doubler, ce qu’il fait immédiatement et parfaitement. Nous venons de vivre encore un grand moment de chasse.

Au matin de notre 6ème jour, nous observons peu de mouvements. Les yeux de lynx de Samuel détectent néanmoins un joli mâle adulte de steinbock (raphicère champêtre) qu’il me propose d’essayer. J’accepte volontiers, saute du véhicule à la suite du PH qui me tend la carabine. Une petite approche sur 200 mètres nous permet de retrouver la gracile antilope que je m’approprie dans la foulée. Les jeunes prendront un après-midi de repos car il est prévu que nous allions affûter les hyènes en soirée. Aucune ne se présentera…

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Carton plein

Nous sommes plutôt cools en attaquant notre avant-dernier jour de safari. Robin et Jules ont fait carton plein hormis un bubale. Notre matinée va par conséquent être consacrée à la recherche d’un hypothétique guépard. Vers midi, une silhouette inhabituelle nous intrigue à environ 700 mètres sur la piste. Le jumelage permet d’identifier un très grand guépard. Le félin se tient en bordure d’une clôture, nous entamons l’approche et voyons soudain le « chat » se glisser doucement sous la séparation. Le vent n’est pas bon. Parvenus à l’endroit du passage du guépard, nous découvrons plusieurs traces d’individus différents. Nous ne les reverrons pas, dommage. Il faut dire que la chasse au guépard est très aléatoire car ce félin ne vient pas à l’appât et ne revient pas sur sa proie lorsqu’il est repu.

Dans l’après-midi, nous nous focalisons sur deux bubales, un mâle et une femelle, que nous tentons d’approcher. Les deux animaux se croisent souvent et bougent tout le temps. Nous les remontons une autre fois. Le mâle est à droite d’un bosquet en plein travers. Il avance doucement, passe derrière le bouquet de végétation et vient sur nous. Samuel place le stick et fait signe de tirer. Jules fait tonner son arme et le bubale s’écroule. Nous avançons vers la dépouille et, stupeur, nous identifions une femelle. Après réflexion, nous comprenons que le mâle est passé derrière le buisson et que c’est la femelle qui est sortie et s’est présentée à nous. Et comme les deux sexes portent des cornes… Ayant vécu la scène, je pense que tout chasseur se serait fait berner, moi le premier. Cette chasse, depuis son début, a été passionnante, c’est le principal. Les jumeaux sont à égalité en matière de bubale, pas de jaloux.     

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Cerise sur le gâteau

La soirée qui va suivre reste ma dernière chance de récolter une hyène brune. Nous nous sommes fixés une heure limite avec Jurgen car la chasse n’est autorisée que jusqu’à une demi-heure après le coucher du soleil. Dès le début, nous voyons des oryx et des zèbres. Puis, soudain une silhouette se dessine à proximité l’appât, fausse alerte c’est un oryctérope qui disparait brutalement car un autre animal arrive, c’est notre hyène. Je m’applique vraiment pour mettre une bonne balle. La 30-06 déchire l’atmosphère. Au coup, la bête fait un demi-tour et file vers la droite, aucune réaction à la balle, pas de bruit sourd à l’impact, je suis dépité tandis que Jürgen ne peut retenir un : « Grosse catastrophe ».

Il fait très sombre, nous allons voir à l’anschuss, aucune trace de sang. Je ne comprends pas, je me suis pourtant bien concentré et suis certain de mon tir. Jürgen scrute alentour avec le monoculaire thermique, je le vois d’un coup se diriger à droite d’un pas rapide et assuré. Il a trouvé l’animal, il git, mort, à 40 mètres, balle de cœur. L’ambiance se détend, le guide arbore désormais un large sourire, c’est la première hyène brune qu’il fait tirer. Il s’agit d’un bel individu avec une encolure bien brune, les pattes rayées, le crâne massif. Je prends vite une photo avec mon téléphone et nous rentrons. Nous ferons de meilleures images demain car il fait maintenant trop sombre. Malheureusement, elle va passer la nuit dans le pick-up pour éviter qu’elle soit abîmée par les chiens ou d’autres rôdeurs à quatre pattes. Au petit matin, elle est toute raide et il n’est plus possible de faire d’autres clichés convenables. 

Nous consacrons notre dernière à un affût au mirador sur un point d’eau au milieu d’une grande plaine où nous avions repéré à plusieurs reprises des traces de guépards. Nous verrons presque tous les animaux appelés « common game » de Namibie, springboks, zèbres, oryx, koudous, élands, chacals mais pas le félin escompté. Cependant, je ne désespère pas, peut être qu’un jour, en tous cas, nous reviendrons.

Un grand merci à nos hôtes Mayke et Jurgen ainsi qu’à Samuel et Festus pour leur professionnalisme et leur gentillesse. 

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